Les œuvres de Thomas Couderc sont vitalistes, elles débordent d’énergie que le format qu’elles adoptent peine à contenir.
Flirtant avec le dérisoire, le miracle et la poésie jaillissent précisément de ce dés-équilibre entre les moyens et les énergies engagés et la finalité ou le résultat escomptés.

Emmanuel Lambion


Une dynamique de montage qui rejoint une logique de bricolage, un gout de l’expéri-mentation propre au travail artistique de Thomas Couderc.
L’œuvre n’a pas à être déchiffrée mais à être explorée. L’imagination doit rebondir, tou-jours être en mouvement.

Luc Jeand’heur


Thomas dans ces dernières œuvres con-fronte des formes et des usages archaïques à des outils technologiques aux infinies possibilités ouvrant un monde débarrassé des contingences.
Drones et imprimantes 3D contre assemblage brutal et matérialité familière. Un monde de promesse contre un monde de survivance.

Anita Molinero


Si leur démarche a quelque chose de Dumb et Dumber, elle n’en pose pas moins des questions artistiques et philosophiques cruciales notamment celles de la galerie d’art et de son système, du marché et des publics, de comment vivre sa vie d’artiste et, finalement, sa vie tout court.

Céline Ghisleri


C’est une vidéo de la fuite et de l’urgence. Elle est cinématographique par son état d’insurrection sensorielle. La vidéo de Thomas Couderc est physique. Elle est la lisière d’une expérience de l’épuisement.
Filmer, c’est être embarqué, dépassé et convoquer la foudre.

Frédéric Valabrègue